Раздеть.
Quand les bizuteurs m’ont dit d’enlever mon soutif, j’étais évidemment gênée, comme d’ailleurs toutes les filles qui y sont passées. Mais de toute façon, on n’avait pas vraiment le choix : si une fille ne voulait pas se désaper, 3 ou 4 bizuteurs l’attrapaient et la déshabillaient.
(sandrabu73 @ doctissimo.fr)