Китаёза, Китаец.
Celui-ci considère qu’il n’est pas responsable de cette méprise, et puisque après tout, « il ne s’agit que d’un Chinago », il préfère appliquer l’ordre qui lui a été donné et abat la guillotine.
(Mémoire d’immigrés et malemort : Controverses autour du passé coolie chez les Chinois de Tahiti, Anne-Christine Trémon, Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS))