Malochen, arbeiten.
La perspective de trimer de plus en plus tard ne m’enchante pas vraiment, c’est un euphémisme. Je passe déjà pratiquement trois heures par jour à perdre mon temps et ma santé dans les transports en commun parisiens (j’ai le temps d’en écouter de la musique !) et cela ne va pas s’arranger.
(El Camino @ blogspot.com, 06/2010)