Uhr.
De temps en temps, il regardait sa petite tocante en plaqué or, et il se demandait si on allait le faire droguer à n’en plus finir.
Ab und zu schaute er auf seine vergoldete Armbanduhr und fragte sich, ob man ihn endlos vollpumpen würde.
(Marcel Aymé, Maison basse, 1934)
Je mate l’heure à ma tocante. Il est cinq heures du mat.
Ich schaue auf die Uhr. Es ist fünf Uhr morgens.
(San-Antonio, Le trouillomètre à zéro, 1987)