Fusel, Alkohol.
Il m’avait dit qu’avant les assauts, les soldats prenaient (on leur donnait ?) ce qu’il devait appeler familièrement du « pousse-au-crime ». Apparemment, plus que pour favoriser le corps, ça jouait sur le mental.
Er hatte mir gesagt, dass die Soldaten vor den Angriffen etwas nahmen (oder bekamen?), was er umgangssprachlich »Verbrechensanstifter« nannte. Anscheinend wirkte das mehr auf die Psyche als auf den Körper.
(samy @ kwoon.info, 05/2006)