gonze
gonze m [gɔ̃z]
Typ, Macker — aus dem italienischen gonzo (Dummkopf). Gelegentlich trifft man auch die Form gonzier.
— J’t’enverrai un gonze dans la semaine. Un beau brun avec des petites bacchantes. Grand. L’air con.
— Ça court les rues les grands cons.
— Oui mais celui là, c’est un gabarit exceptionnel ! Si la connerie se mesurait, il servirait de mètre étalon ! Y serait à Sèvres !
(Gilles Grangier, Michel Audiard, Le Cave se Rebiffe, 1961)
gonzesse f [gɔ̃zɛs]
Frau, Tussi.
Aujourd’hui, je suis allée chez les parents de mon copain. Le père de celui-ci lui dit : «T’as encore changé de gonzesse. Tant mieux ! Celle de la dernière fois était moche !» Cela fait 7 mois que nous sommes ensemble et la «moche de la dernière fois», c’était moi en brune.
Heute war ich bei den Eltern meines Freundes. Sein Vater sagt zu ihm: »Du hast schon wieder eine neue Freundin. Zum Glück! Die vom letzten Mal war hässlich!« Wir sind seit 7 Monaten zusammen, und die »Hässliche vom letzten Mal« war ich als Brünette.
(VDM, 03/2009)
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