Zicke.
Aujourd’hui, je retrouve sur mon capot une rose accompagnée d’un numéro de téléphone. Émoustillée, je compose le numéro. « C’est vous la connasse qui s’est garée en double file devant ma voiture ? Bougez pas, j’arrive, j’ai deux mots à vous dire. »
Heute finde ich auf meiner Motorhaube eine Rose mit einer Telefonnummer. Aufgeregt wähle ich die Nummer. »Sind Sie die blöde Kuh, die sich im Doppelpark vor mein Auto gestellt hat? Bleiben Sie da, ich komme, ich habe Ihnen zwei Takte zu sagen.«
(VDM, 10/2009)