Sushi. Implique que pour les consultants les sushis sont aussi courants que les frites pour le tout-un-chacun.
Zunächst galt der Genuss dieser Beraterpommes oder Matjes für Besserverdienende, wie Sushi von bösen Zungen genannt wurde, als elitär. Werber, Consulter, Kreative, Magersüchtige, kurzum chice, urbane und weltläufige Städter gehörten zunächst zur Klientel. Doch das änderte sich schnell.
Au début, la consommation de ces « frites de consultant » ou de « harengs pour nantis », comme les mauvaises langues appelaient les sushis, passait pour élitiste. Les clients étaient initialement des publicitaires, des consultants, des créatifs, des anorexiques — bref, des citadins chics, urbains et cosmopolites. Mais cela changea rapidement.
(tudusmitblumen.de, 10/2008)