Dégueulis sur la voie publique (« pizza de caniveau »).
Man verlässt morgens das Haus, und das erste, worauf der Blick aus noch leicht verquollenen Augen fällt, ist die eingetrocknete Lache Erbrochenes auf dem Bürgersteig. Mit etwas Glück hat man nicht gefrühstückt und überwindet den Würgereiz rechtzeitig, sonst findet der nächste Passant gleich noch eine Randsteinpizza vor.
On quitte la maison le matin, et la première chose qui frappe les yeux encore légèrement bouffis, c’est la flaque de vomi séché sur le trottoir. Avec un peu de chance, on n’a pas encore pris de petit-déjeuner et on surmonte le réflexe nauséeux à temps, sinon le prochain passant trouvera une autre pizza sur le trottoir.
(Eva Herold @ wordpress.com, 04/2011)