Fustier, 1889 : Élève de l’École de Saumur.
Tout Saumurien qui se respecte ne lit que le Figaro, l’Union et la Gazette de France.
(Nos farces à Saumur)
France, 1907 : Élève de l’École de cavalerie de Saumur ; ne pas confondre avec Saumurois, l’habitant.
Depuis trois semaines environ, Saumurois et Saumuriens étaient en guerre… Assurément, il n’y avait pas de quoi fouetter le plus maigre chat, mais, comme toujours, on avait si bien embrouillé les choses que c’était devenu une affaire politique.
(Théo-Critt, Nos farces à Saumur)