d’Hautel, 1808 : Petit lundi, grande semaine. Maxime populaire qui signifie que quand on ne fait pas une grande débauche le lundi, la semaine doit être lucrative.
Russe-français
Russisch-Deutsch
Rusianeg-Brezhoneg
Russian-English
Ρώσικα-Ελληνικά
Russo-italiano
Ruso-español
Rus-român
Orosz-Magyar
Ruso-aragonés
Rusice-Latine
Французско-русский
Немецко-русский
Бретонско-русский
Französisch-Deutsch
Allemand-français
Блатной жаргон
Soldatensprachführer
Военные разговорники
Lundi
d’Hautel, 1808 : Petit lundi, grande semaine. Maxime populaire qui signifie que quand on ne fait pas une grande débauche le lundi, la semaine doit être lucrative.
Lundi (faire le)
Rigaud, 1881 : Chômer le lundi, — dans le jargon des ouvriers. — La plupart des ouvriers travaillent le dimanche ou une grande partie du dimanche ; en outre, ce jour-là, ils s’occupent à mettre de l’ordre chez eux ce jour-là les prix des chemins de fer sont sensiblement augmentés ; autant de raisons qui plaident en faveur du chômage du lundi. — Le lundi, c’est le dimanche des ouvriers, surtout quand la paye a eu lieu le samedi précédent.
À la table voisine de la sienne, il y avait deux hommes en habits d’ouvriers qui faisaient le lundi.
(P. Mazerolles, La Misère de Paris)
Lundicrate
Delvau, 1866 : adj. et s. Feuilletoniste du lundi, — dans l’argot des gens de lettres. Ce mot appartient à M. Pierre Véron.
Lundiste
Fustier, 1889 : V. Delvau : Lundicrate.
Ce fut cette fois un succès éclatant. J’ai voulu lire les appréciations des lundistes d’alors, j’y ai trouvé ce que j’attendais.
(P. Perret.)
Argot classique, le livre • Telegram