anon., 1827 : Des coups.
Halbert, 1849 : Des coups.
Delvau, 1866 : s. f. Coups donnés ou reçus, — dans l’argot des faubouriens, qui parfois se décousent ainsi les brouailles.
France, 1907 : Correction.
Un jour, le vieux soiffard, tourmenté, sans doute, par la bile ou excité par le whiskey, s’irrita plus que de coutume et se mit, dès le commencement de la classe, à fesser la gamine… L’après-midi, y prenant goût sans doute, il recommença la brouée.
(Hector France, Chez les Indiens)