(La Rue, 1894) : Prostibulum.
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Boni, boxon, bousin
(La Rue, 1894) : Prostibulum.
Boxon
(un détenu, 1846) : Maison de filles.
(Delvau, 1864) : Bordel, probablement parce que, comme on y va gris, on s’y boxe souvent, — et non comme l’avance Francisque Michel, sans preuves à l’appui, parce qu’il y avait autrefois, à la porte de ces maisons-là, comme à la porte des cabarets, un rameau de buis (en lat. buxus).
Y dit qu’dans tous les boxons
On le r’çoit en paillasson.
Dumoulin.
(Delvau, 1867) : s. m. Mauvais lieu habité par de jolies filles, — dans l’argot des faubouriens.
(Virmaître, 1894) : Maison de tolérance. Maison mal famée, dit le sénateur Bérenger, sans doute parce qu’il y a de fort jolies femmes. Question d’appréciation (Argot du peuple). V. Bocard.
(Rossignol, 1901) : Voir bocard.
(Hayard, 1907) : Maison de tolérance.
(France, 1907) : Maison de prostitution.
Boxonner
(Delvau, 1864) : Aller de bordel en bordel ; fréquenter les filles publiques. Se dit aussi pour : Baiser.
Du dieu Vulcain quand l’épouse mignonne,
Va boxonner loin de son vieux sournois.
(Parnasse satyrique.)
Boxonneur
(Delvau, 1864) : Coureur de bordels.
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