Larchey, 1865 : Mauvaise eau-de-vie.
Avaler un verre de tord-boyaux, comme l’appelait notre amphitryon.
Vidal, 1833.
Delvau, 1866 : s. m. Eau-de-vie, — dans l’argot des faubouriens.
Rigaud, 1881 : Eau-de-vie commune.
La riboteuse qui consomme
Plus de spiritueux qu’un homme
Et lampe sans peur le rogomme,
Le sacré-chien, le tord-boyaux.
(A. Pommier, Paris.)
Hayard, 1907 : Eau-de-vie.