(Larchey, 1865) : Mauvaise eau-de-vie.
Avaler un verre de tord-boyaux, comme l’appelait notre amphitryon.
Vidal, 1833.
(Delvau, 1867) : s. m. Eau-de-vie, — dans l’argot des faubouriens.
(Rigaud, 1881) : Eau-de-vie commune.
La riboteuse qui consomme
Plus de spiritueux qu’un homme
Et lampe sans peur le rogomme,
Le sacré-chien, le tord-boyaux.
(A. Pommier, Paris.)
(Hayard, 1907) : Eau-de-vie.