(Bras-de-Fer, 1829) : Crier au secours.
(Delvau, 1867) : v. n. Crier au voleur, pour empêcher le volé d’en faire autant. Argot des prisons.
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Battre morasse
(Bras-de-Fer, 1829) : Crier au secours.
(Delvau, 1867) : v. n. Crier au voleur, pour empêcher le volé d’en faire autant. Argot des prisons.
Morasse
(Delvau, 1867) : s. f. Dernière épreuve d’un journal, — dans l’argot des typographes, qui savent mieux que personne être moracii, c’est-à-dire en retard, morari.
(Rigaud, 1881) : Crier à l’assassin. V. Battre.
(Boutmy, 1883) : Inquiétude, danger, remords. Battre morasse, crier à l’assassin.
(La Rue, 1894) : Danger ; ennui. — Battre morace, crier à l’assassin, crier au voleur.
Morasse (battre)
(Larchey, 1865) : s. m. Celui qui fait partie de la morasse.
Morasse, Morace, Moresque
(Rigaud, 1881) : Moutard désagréable. Morbac, diminutif de morpion (Argot du peuple).
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