Delvau, 1867 : s. m. Flâneur, vagabond, ouvrier qui se dérange.
Virmaître, 1894 : Mauvais ouvrier qui flâne, qui tue le temps en loupant pour attendre l’heure de la sortie et qui a plus souvent les yeux fixés sur la pendule que sur son ouvrage. En 1848, un marchand de vins, boulevard de Belleville, avait pris pour enseigne : Au camp de la loupe, tenu par Feignant (Argot du peuple).
Virmaître, 1894 : Désigne le voleur qui, à la tombée de la nuit, vole des diamants chez les bijoutiers au moyen d’une loupe à deux branches (Argot des voleurs).
Rossignol, 1901 : Un individu peu courageux au travail, qui n’aime qu’à flâner, est un loupeur.