(d’Hautel, 1808) : On désigne ainsi un escalier roide et obscur, où l’on risque de tomber à chaque pas.
On dit plus communément un Casse-cou.
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Brise-cou ou casse-gueule
(d’Hautel, 1808) : On désigne ainsi un escalier roide et obscur, où l’on risque de tomber à chaque pas.
On dit plus communément un Casse-cou.
Casse-gueule
(d’Hautel, 1808) : Pour dispute, batterie ; lieu obscur et dangereux.
(Larchey, 1865) : Bal public de dernier ordre, où on se bat souvent.
Veux-tu v’nir aux Porcherons, Ou j’irons au cass’gueule à la basse Courtille.
Duverny, Chanson, 1813.
(Delvau, 1867) : s. m. Bal de barrière, — dans l’argot des faubouriens qui s’y battent fréquemment.
Casse-Gueule
(Rigaud, 1881) : Bal public fréquenté par des gentilshommes du ruisseau qui, à la moindre contestation, ponctuent le visage de leurs contradicteurs.
(Rigaud, 1881) : Eau-de-vie tout à fait inférieure.
Elle regarda ce que buvaient les hommes, du casse-gueule, qui luisait pareil à de l’or dans les verres.
(E. Zola.)
On dit aussi casse-poitrine.
Casse-gueule
(La Rue, 1894) : Mauvaise eau-de-vie. Bal public du dernier ordre.
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