Delvau, 1866 : s. m. Homme de cheval, habitué des courses.
France, 1907 : Homme qui s’occupe de sports.
Le pluriel est sportsmen.
Les jours du Grand Prix de Paris, Mabille était envahi par une foule de sportsmen, et suivant la nationalité du cheval qui avait remporté la victoire, Anglais ou Français la célébraient en buvant d’énormes quantités de champagne, accompagnées d’une grêle de coups de poings.
(Ch. Virmaître, Paris oublié)