d’Hautel, 1808 : Pierre qui roule n’amasse point de mousse. Signifie, qu’il ne faut pas changer à chaque instant de métier, si l’on veut amasser de la fortune ; mais bien en choisir un, et s’y tenir.
anon., 1827 : M.
Bras-de-Fer, 1829 : M…
Halbert, 1849 : Excrément.
Larchey, 1865 : Excrément. — On s’injurie fréquemment dans le peuple par ces mots : Vent et mousse pour toi !
Delvau, 1866 : s. m. Apprenti commis, — dans l’argot des calicots.
Delvau, 1866 : s. f. Le résultat de la fonction du plexus mésentérique, — dans l’argot des marbriers de cimetière.
Rigaud, 1881 : Vieux mot injurieux, très en vogue aux XVe et XVIe siècles, synonyme de bran et auquel à succédé le fameux « merde » de nos jours, qui semble répondre à toutes les situations tendues.
Mousse pour le guet ; bran pour les sergents.
(Adages français.)
La Rue, 1894 : Excrément. Mousser, aller à la selle. De la mousse ! Non ! Rien ! Mousserie, latrines.
Rossignol, 1901 : Couteau.
France, 1907 : Excrément. Vieux mot.