Cousine
Cousine
Delvau, 1864 : Pédéraste passif ; variété de Tante, — les enculés portant presque tous des noms de femme, tels que ceux de : la Rein d’Angleterre, la Grille, la Marseillaise, la Fille à la perruque, la Léontine, la Nantaise, la Folle’, la Fille à la mode, la Pipée, la Bouchère, etc.
Delvau, 1866 : s. f. L’Héphestion des Alexandres de bas étage, — dans l’argot du peuple.
France, 1907 : Sodomite.
Cousine de vendange
Delvau, 1864 : Femme que l’on baise sur la table de certains cabarets borgnes, moyennant bouteille et quelque monnaie.
M. de L’Aulne se fit égratigner à la place de sa cousine de vendange.
Comte De Caylus.
Delvau, 1866 : s. f. Fille ou femme qui fait volontiers débauche au cabaret, — dans le même argot [du peuple].
France, 1907 : Coureuse de cabarets.
Cousiner
d’Hautel, 1808 : Vivre aux dépens des gens plus riches que soi. Appeler quelqu’un cousin
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