Delvau, 1866 : s. m. Coup reçu sur la tête, ou sur toute autre partie du corps.
Rigaud, 1881 : Taloche, choc, contusion. — Se cabochonner, se battre.
Rigaud, 1881 : Caractère d’imprimerie très usé ; vignette effacée, détériorée.
Rossignol, 1901 : Coup ou blessure.
J’ai reçu un cabochon qui m’a fendu la tête.
France, 1907 : Tête.
— Notre Aline, que nous pensions caser si avantageusement, après la superbe instruction qu’elle a reçue, tous les brevets qu’elle a obtenus, elle ne se marie pas ! aucun épouseur n’apparaît !… C’est bizarre tout de même ! Sa sœur Gabrielle, qui ne pouvait rien apprendre, qui avait le cabochon dur comme une pierre, disait-on, la voilà pourvue, elle !
(Albert Cim, Demoiselles à marier)
Se dit aussi pour coup à la tête : « J’ai reçu un fameux cabochon »