Delvau, 1864 : Branler doucettement quelqu’un où quelqu’une, pour le — ou la — faire bander et l’exciter à jouir.
Qui n’invoque point le secours
D’une main gui vous le brandouille.
(Satan et Eve, 47.)
Le roi disait à la reine Victoire :
Si tu voulais,
Une heure ou deux, me brandouiller l’histoire,
Je banderais…
Plus d’une fois, une main sous ta cotte,
Tandis que l’autre écartait ton fichu.
Je caressais et brandouillais ta motte…
Dis-moi, Marton, dit-moi, t’en souviens-tu ?
(Chansons anonymes modernes.)