France, 1907 : Se dit d’une fille ou d’une petite fille qui prend des airs d’importance ou veut jouer à la dame.
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Faire sa tata
France, 1907 : Se dit d’une fille ou d’une petite fille qui prend des airs d’importance ou veut jouer à la dame.
Matatane
Fustier, 1889 : Argot militaire. Salle de police.
Patata-patata
d’Hautel, 1808 : Mot qui rappelle le bruit d’un cheval courant au grand galop.
Patati-patata
France, 1907 : Onomatopée, dont on se sert pour exprimer un bavardage ennuyeux qui n’en fini pas, une suite de rengaines sur un air connu.
— Depuis longtemps, il m’adorait. Nos âmes sœurs ! Cruelle énigme ! et patati et patata… J’affectai de rire pour geler un peu son éloquence…
(Paul Adam)
Tata
Delvau, 1866 : s. f. Tante, — dans l’argot des enfants. C’est également le mot qu’ils répètent le plus souvent pour appeler leur père. On le retrouve jusque dans les épigrammes de Martial.
Delvau, 1866 : s. f. Femme plus bavarde que ne le permet son sexe ; belle diseuse de riens ; précieuse ; mijaurée. Faire sa tata. Se donner de l’importance ; être une commère écoutée.
Virmaître, 1894 : Les enfants, les petites filles disent de l’une d’elles qui fait des manières :
— Elle fait sa tata.
Dans le mondes des équivoques une tata, c’est le passif.
Il existe un chanson sur ce sujet :
C’est nous qui sommes les tatas (Argot du peuple).
Rossignol, 1901 : Voir chatte.
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