Delvau, 1866 : s. m. Apprenti débauché, jeune maquereau. On prononce Macrotin.
Rossignol, 1901 : Souteneur qui n’est pas dans l’opulence.
France, 1907 : Jeune souteneur, petit maquereau. On dit aussi macrotin.
C’est un maquereautin rigouillard en rupture de barrières, qui a pris du ventre à fréquenter des légumeux et pas autre chose, mal embouché avec ça : « p;Des façons avec mézigue, qu’il fait à Carnot, en lui tapant sur son ventre factice, ouh là là ! Et ta sœur, est-ce qu’elle fait la planche ?… Pas de magnes, eh ! n’ailles pas te gober, parce que t’es le mec des mecs…
(Le Père Peinard)