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Baiser ou foutre à couillons rabattus, ou comme un dieu

Delvau, 1864 : Avec énergie, sans songer au mari que l’on cocufie ni aux enfants que l’on procrée, — comme tous les hommes voudraient bien pouvoir foutre, et comme toutes les femmes voudraient bien être foutues.

Et maintenant, gonzesse, que je t’ai foutue à couillons rabattus, comme tu n’es pas foutue d’être foutue jamais de ta garce de vie…

Lemercier de Neuville.

Les hommes, lorsqu’ils ont foutu
À double couillon rabattu,
Se lavent dans une terrine.

Dumoulin-Darcy.

Madame Durut, sentant les approches du suprême bonheur, se livre au transport, et, s’agitant à l’avenant, s’écrie : Foutre ! c’est trop de plaisir ! il fout comme un Dieu !

A. de Nerciat.

Couillons

Delvau, 1864 : Les testicules.

O vit ! bande toujours, et vous, couillons propices,
Distillez voire jus,
Pour fixer à jamais les rapides délices
De es sens éperdus.

(Parnasse satyrique.)

Voyez la grande trahison
Des ingrats couillons que je porte :
Lorsque leur maître est en prison,
Les ingrats dansent à la porte.

(Cabinet satyrique.)

Mes couillons, quand mon vit se dresse,
Gros comme un membre de mulet,
Plaisent aux doigts de ma maîtresse
Plus que deux grains de chapelet.

Théophile.


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