Rassistische Ausschreitung gegen Nordafrikaner.
Le 17 octobre 2001, pour le quarantième anniversaire des ratonnades, monsieur Bertrand Delanoë, maire de Paris, prenait sur lui d’inaugurer une plaque commémorative sur le quai du Marché Neuf, à côté du pont Saint Michel, non loin de la préfecture de police. Il était bien seul, abandonné de certains de ses camarades, dont monsieur Lionel Jospin, alors premier ministre, qui devait craindre de perdre les élections de 2002. Aucun membre de son gouvernement n’était là.
Am 17. Oktober 2001, zum vierzigsten Jahrestag des Massakers, nahm Herr Bertrand Delanoë, Bürgermeister von Paris, die Initiative, eine Gedenktafel auf dem Quai du Marché Neuf einzuweihen, in der Nähe der Pont Saint-Michel und nicht weit von der Polizeipräfektur entfernt. Er war ziemlich allein, von einigen seiner Genossen verlassen, darunter Herr Lionel Jospin, der damalige Premierminister, der wohl befürchtete, die Wahlen 2002 zu verlieren. Kein Mitglied seiner Regierung war anwesend.
(L’escalier qui bibliothèque, 10/2009)
