Rigaud, 1881 : Mauvais ouvrier qui fait plus de bruit que de besogne.
On ne dit plus, en parlant d’un travailleur d’ordre, de conduite : c’est un bon ouvrier, et du paresseux, violent et ivrogne : c’est un mauvais ouvrier ; on dit de l’un, c’est un ouvrier, de l’autre, c’est un sublime.
(Le Sublime.)
France, 1907 : Ouvrier fainéant, ivrogne et orateur de marchand de vin.
Il ne fut jamais un sublime, beau parleur et ouvrier fainéant ; il fut un travailleur travaillant, ne s’adonnant aux réunions publiques qu’au sortir de l’atelier.
(Jacqueline, Gil Blas)