Larchey, 1865 : « Ils travaillent un instant après la pluie. Alors l’eau a charrié dans les rigoles ménagées par le pavé tous les morceaux de clous et de ferraille qu’elle a pu emporter en passant… La besogne faite, ils vendent un sou la livre leur misérable butin. »
Berthaud, 1846.
La police a fait cesser cette exploitation. — Les Mystères de Paris montrent cette industrie s’exerçant en grand sur les ports de la Seine :
S’avançant dans l’eau aussi loin qu’il peut aller, le ravageur puise à l’aide d’une longue drague le sable de rivière sous la vase, puis il le lave comme un minerai et en retire une grande quantité de parcelles métalliques.
E. Sue.