d’Hautel, 1808 : Faire une malhonnêteté bien pommée à quelqu’un. C’est-à-dire, manquer entièrement aux égards, au respect qu’on lui doit ; s’écarter tout-à-fait des règles de la bienséance. On dit aussi de quelqu’un qui fait des fautes grossières en parlant, ou qui ne peut ouvrir la bouche sans faire de grossiers mensonges, qu’il en dit de pommés.
France, 1907 : Arrêter, emprisonner.
Enfin quèqu’fois quand on m’pomme,
J’couche au post’ ! c’est chouett’, c’est chaud.
(J. Richepin)