d’Hautel, 1808 : Tout cela est passé dans son greffe. Se dit lorsqu’un homme retient injustement le salaire d’un autre pour en faire son profit.
Il a pris cela dans son greffe. Signifie, il a inventé, il a forgé ce qu’il débite.
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Greffe
d’Hautel, 1808 : Tout cela est passé dans son greffe. Se dit lorsqu’un homme retient injustement le salaire d’un autre pour en faire son profit.
Il a pris cela dans son greffe. Signifie, il a inventé, il a forgé ce qu’il débite.
Greffer
Halbert, 1849 : Manquer de nourriture.
Delvau, 1866 : v. n. Mourir de faim, — dans l’argot des voyous.
Rigaud, 1881 : Souffrir de la faim.
La Rue, 1894 : Souffrir de la faim.
Virmaître, 1894 : Attendre (Argot des voleurs).
Rossignol, 1901 : Jeûner faute d’argent.
Hayard, 1907 : Ne pas manger.
France, 1907 : Être dans la misère, avoir faim.
Toute la bande était devenue grave.
Une affaire était donc en train ? Elle devait être bonne, à en croire le ton de Nib. Tant mieux ! Il y avait si longtempe qu’on ne faisait que des vols à la mie de pain… on allait donc enfin se refaire de dèche et ne plus greffer.
(Ed. Lepelletier)
France, 1907 : Attendre ; argot des voleurs.
Greffer un tendron
Delvau, 1864 : Prendre une jeune fille pour un arbre, la grimper et lui faire un enfant.
Lorsque la charmille pousse,
D’une main légère et douce
Je lui donne une façon
Souvent je plante et je sème,
Mais, mon plaisir est extrême,
Lorsque je greffe un tendron.
(Vieille chanson anonyme.)
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