d’Hautel, 1808 : Faire avaler des couleuvres à quelqu’un. Signifie lui faire essuyer de grandes mortifications, des chagrins amers.
On dit aussi d’un homme méchant et pervers, que c’est une couleuvre.
Delvau, 1866 : s. f. Femme enceinte, — dans l’argot des voyous, qui, probablement, font allusion aux lignes serpentines de la taille d’une femme en cette « position intéressante ».
France, 1907 : Paresseux ou paresseuse, en raison des mœurs nonchalantes de ce reptile, qui reste engourdi tout l’hiver.
France, 1907 : Femme dans la position que l’on est convenu d’appeler intéressante, et qui ne peut guère intéresser qu’elle et les siens.