Fustier, 1889 : Ce verbe, qui, dans l’argot, a le sens propre de être battu, s’emploie aussi au figuré comme synonyme de : être malmené, être tancé.
Il faut que M. B… (qui a fortement trinqué dans cette séance) et les actionnaires résilient leurs baux.
(Intransigeant, sept. 1888.)
La Rue, 1894 : Recevoir des coups. Être malmené.
Virmaître, 1894 : Boire en choquant son verre. Trinquer : recevoir une volée (Argot du peuple).
Rossignol, 1901 : Recevoir des coups ou des réprimandes.
Hayard, 1907 : Être battu.