(Larchey, 1865) : Importuner. V. Scier.
Moi, ça me scie le dos.
Rétif, 1782.
(Rigaud, 1881) : Ennuyer. — En avoir plein le dos, manière d’exprimer son mécontentement, lorsque quelqu’un ou quelque chose vous ennuie énormément.
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Dos (scier le)
(Larchey, 1865) : Importuner. V. Scier.
Moi, ça me scie le dos.
Rétif, 1782.
(Rigaud, 1881) : Ennuyer. — En avoir plein le dos, manière d’exprimer son mécontentement, lorsque quelqu’un ou quelque chose vous ennuie énormément.
Gicler, giscier
(La Rue, 1894) : Jaillir, couler en jet. Cracher en jet.
Scier
(d’Hautel, 1808) : Berner, railler, persifler, ridiculiser, turlupiner quelqu’un ; se divertir à ses dépens. Il signifie aussi ennuyer, excéder, importuner.
Tu me scie le dos avec une latte. Se dit trivialement à quelqu’un dont les discours ennuient, excèdent, ou que les avis importunent.
(Delvau, 1867) : v. a. Importuner, obséder sans relâche. On dit aussi Scier le dos.
(La Rue, 1894) : Ennuyer, fatiguer.
Scier du bois
(Delvau, 1867) : v. a. Jouer du violon ou de la contrebasse, — dans l’argot des faubouriens.
(Rigaud, 1881) : Jouer du violon, jouer du violoncelle.
Scier son armoire
(Virmaître, 1894) : Quand le contrebassiste, dans un orchestre, fait sa partie, les voyous disent :
— Il scie son armoire.
Allusion de forme (Argot du peuple). N.
Scier, scier le dos
(Larchey, 1865) : Tourmenter.
Pourquoi boire ? — Pour s’étourdir, pour oublier ce qui vous scie.
E. Sue.
Laisse-moi, Cadet, tu me scies.
Rousseliana, 1805.
(Rigaud, 1881) : Ennuyer. — Fatiguer par des vexations, des bavardages.
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