(d’Hautel, 1808) : On lui a donné un vilain coup de pinceau. Se dit d’un homme contre lequel on s’est permis quelque satire, que l’on a tourné en ridicule.
(Larchey, 1865) : Balai. — Allusion de forme. — V. Giberne.
Les hommes de corvée sont tous là prêts le pinceau eu main, je veux dire le balai en joue.
Vidal, 1833.
(Delvau, 1867) : s. m. Plume a écrire, — dans l’argot des francsmaçons.
(Delvau, 1867) : s. m. La main ou le pied, — dans l’argot des faubouriens, qui ont entendu parler du peintre Ducornet. Détacher un coup de pinceau. Donner un soufflet.
(Delvau, 1867) : s. m. Balai, — dans l’argot des troupiers.
(Rigaud, 1881) : Balai, — dans le jargon du régiment. — Voyons voir, administrez un coup de pinceau, et là, vivement !
(Merlin, 1888) : Balai.
(La Rue, 1894) : Balai. Pied.
(Virmaître, 1894) : Balai.
— Quel riche coup de pinceau (Argot du peuple).
(Rossignol, 1901) : Balai.
(Hayard, 1907) : Balai.