Delvau, 1866 : s. m. pl. Les jambes, — dans l’argot des faubouriens, qui savent que c’est avec elles qu’on traîne le corps.
Virmaître, 1894 : Jambes. Elles traînent le corps. Cette expression a donné naissance à une autre. Se mettre dans les brancards. La situation explique le fait, surtout si on ajoute d’une femme passionnée : elle rue dans les brancards (Argot des souteneurs). N.
France, 1894 : Les mains ou les jambes.
Rossignol, 1901 : Les jambes.