Delvau, 1864 : L’endroit réservé, discret, mystérieux, parfumé, où toute femme qui sait vivre reçoit l’homme dont elle veut être aimée — à couillons rabattus.
Eh bien, Montade, n’est-il pas joli, mon boudoir ! — Il le sera davantage quand nous l’aurons appelé par son vrai nom, foutoir.
La Popelinière.