Delvau, 1864 : La nature de la femme, où vient en effet s’éteindre, en fondant, la chandelle de l’homme.
La chandelle était trop petite,
Ou l’éteignoir était trop grand.
Émile Debraux.
Nous allâmes rire chez moi de cette tragi-comédie et éteindre dans nos voluptueux ébats, les feux dont ce spectacle lascif venait de nous embraser.
(Félicia.)
Il avait éteint sa chandelle par deux fois.
Noël du Fail.
Larchey, 1865 : Personne assez maussade pour éteindre la gaîté de ses voisins.
Larchey, 1865 : Nez aussi gros qu’un éteignoir.
Ah ! Quel nez ! Rien que de l’apercevoir, On s’dit : Dieu ! quel éteignoir !
Guinod 1839.
V. Piston.
Rigaud, 1881 : Préfecture de police ; Palais de Justice ; double allusion aux tours de la Conciergerie terminées en forme d’éteignoir, et à la situation de l’accusé qui est éteint, qui est enlevé à la clarté du jour.
Virmaître, 1894 : Cafard qui éteint l’intelligence des enfants qu’il est chargé d’instruire. Éteignoir : individu morose qui éteint toute gaieté dans une réunion. Éteignoir : nez monumental.
— Dérange donc ton nez que je voie la tour Eiffel (Argot du peuple).
Rossignol, 1901 : Nez.
France, 1907 : Préfecture de police.
France, 1907 : Large et grand nez.