Delvau, 1866 : s. m. Insecte parasite, — dans l’argot des faubouriens.
Delvau, 1866 : s. m. Amateur, — dans l’argot des saltimbanques, qui donnent ce nom à celui des spectateurs qui consent à leur servir de compère dans un tour de force ou d’adresse.
Rigaud, 1881 : Voyageur de commerce. — L’illustre Gaudissart a été le Napoléon des voyageurs. (V. Le roman de Balzac.)
Rigaud, 1881 : Saltimbanque. — C’est, par euphémisme, le nom sous lequel les saltimbanques se désignent.
Virmaître, 1894 : L’engayeur qui bat comtois, qui fait le compère à la porte des baraques de lutteurs se nomme le voyageur (Argot des saltimbanques).