d’Hautel, 1808 : Pour dire la tête.
Gare la tronche. Pour, prends garde à ta tête.
Raban et Saint-Hilaire, 1829 : Tête.
Bras-de-Fer, 1829 : Tête.
un détenu, 1846 : Tête.
Larchey, 1865 : La Sorbonne est la tête qui pense, qui médite ; la Tronche est la tête lorsque le bourreau l’a séparée du tronc.
Vidocq, 1837.
Gare la tronche ! prends garde à la tête.
d’Hautel, 1808.
Delvau, 1866 : s. f. Visage ; tête, — dans l’argot des voleurs.
Rigaud, 1881 : Tête, visage. — Tronche à la manque, sergent de ville, agent de police, — dans le jargon des voleurs ; c’est-à-dire vilaine tête.
La Rue, 1894 : Tête. Visage. Tronche à la manque. Gardien de la paix. Figure mauvaise.
Virmaître, 1894 : Tête (Argot des voleurs).
Rossignol, 1901 : Tête.
Je lui ai envoyé un coup de tronche dans l’estomac, qui l’a envoyé à dame.
Hayard, 1907 : Tête.
anon., 1907 : Tête.