Larchey, 1865 : Acteur trop mauvais pour être accepté nulle part. — Ch. Friès.
Delvau, 1866 : s. m. Lutteur ; homme qui tombe ses rivaux.
Delvau, 1866 : s. m. Éreinteur, journaliste hargneux.
Delvau, 1866 : s. m. Acteur plus que médiocre, et, à cause de cela, habitué à compromettre le succès des pièces dans lesquelles il joue. Argot des coulisses.
Rigaud, 1881 : Séducteur.
Le grand. Lolo, dit le tombeur des belles, fouilla, du haut de son siège, les deux voyageuses d’un petit coup de fouet d’amitié.
(E. de Goncourt.)
Rigaud, 1881 : Mauvais acteur avec lequel la meilleure pièce court le risque de ne pas réussir.
Rigaud, 1881 : Critique impitoyable. Polémiste qui l’emporte sur son contradicteur.
Cette fois le tombeur de M. Bûcheron a pleinement raison.
(E. de Girardin, la France du 23 août 1877.)
Rigaud, 1881 : Celui qui vit d’emprunts au jeu.
La Rue, 1894 : Lutteur qui tombe ses rivaux. Séducteur. Critique sévère. Mauvais acteur.
Virmaître, 1894 : Homme fort. Lutteur qui tombe tous ses adversaires. Tomber une femme : la séduire, la faire céder. Dans les cercles, le croupier dit : cinq louis qui tombent (Argot du peuple).