Delvau, 1864 : Graine d’enfants que l’on sème (σπέρμα) dans le ventre de la femme, — terre souvent féconde, et souvent bréhaigne aussi, selon la qualité de la semence, ou la vertu du semoir.
Nul rafraîchissement ne la lui peut ôter si bien qu’un bain chaud et trouble de sperme vénérique.
Brantôme.
Le sperme n’est pas l’or potable
Qui vous nourrit au lieu de pain ;
Durant que votre con tient table
Votre ventre crie à la faim.
Théophile.
La bonne Alix, curieuse, s’avance,
Voyant jaillir ce sperme merveilleux.
Piron.
Et lorsque du plaisir est arrivé le
Dans ma bouche je sais encor garder le sperme.
L. Protat.