Delvau, 1866 : s. m. Apocope de Sous-Officier, — dans l’argot des troupiers.
Rigaud, 1881 : Sous-officier.
Merlin, 1888 : Apocope de sous-officier.
France, 1907 : Abréviation de sous-officier.
— Eh ! mon cher, pourquoi nous sommes-nous engagés ? Pour arriver, n’est-ce pas ? Or, au train dont vont les choses, nous avons la perspective d’être sous-off vers l’époque de notre retraite, avec la médaille militaire qui nous rapportera cent francs par an. Plus de guerre, partant plus de galons. Ce n’est pas précisément pour ça que je me suis fait soldat.
(Hector France, L’Homme qui tue)