Raban et Saint-Hilaire, 1829 : Confesseur, celui qui accompagne le condamné à l’échafaud.
Bras-de-Fer, 1829 : Confesseur.
Larchey, 1865 : Prêtre. — Calembour. — C’est le sans-glier, le sans-diable (Glier représente le diable dans le vieil argot. V. Vidocq). Allusion à la mission divine du prêtre qui est de réconcilier les condamnés avec le ciel. V. Hariadan, Cuisinier.
Delvau, 1866 : s. m. Prêtre, — dans l’argot des voleurs.
Rigaud, 1881 : Prêtre. Le sanglier est sauvage ; le prêtre vit retiré du monde comme le sanglier au fond des forêts.
La Rue, 1894 : Prêtre.
Virmaître, 1894 : Le prêtre. Pourquoi ? Le prêtre n’a pourtant rien du sanglier, ni les allures, ni la rudesse, car il ne tient pas tête à ceux qui le combattent (Argot des voleurs).
France, 1907 : Prêtre ; c’est-à-dire sans glier. Voir ce mot.