d’Hautel, 1808 : Se laisser surprendre par le sommeil, dormir.
Halbert, 1849 : Dormir.
Larchey, 1865 : Dormir. — V. Paumer, Pieu, Rifle.
Il est bien temps de roupiller.
1750, Monbron, Henriade travestie.
Delvau, 1866 : v. n. Dormir, — dans l’argot des faubouriens, qui emploient ce verbe depuis plus d’un siècle. Signifie aussi Avoir continuellement une roupi au nez.
Rigaud, 1881 : Dormir.
Il roupille comme ça toute la journée : le v’là parti.
(H. Monnier, Scènes populaires.)
La Rue, 1894 : Dormir.
Virmaître, 1894 : Dormir. Quand on ne dort que quelques instants, on fait un petit roupillon.
— Il est tellement gouapeur qu’il roupille sur son ouvrage (Argot du peuple).
Rossignol, 1901 : Dormir.
Hayard, 1907 : Dormir.
anon., 1907 : Dormir.