d’Hautel, 1808 : Il a reçu une bonne rincée. Pour, on l’a grondé de belle manière ; il a été rossé, étrillé comme il faut.
Larchey, 1865 : « Il a reçu une bonne rincée, il a été battu, étrillé comme il faut. »
1808. d’Hautel.
Delvau, 1866 : s. f. Coups donnés ou reçus, — dans l’argot du peuple.
Rigaud, 1881 : Correction manuelle ; — petite raclée.