d’Hautel, 1808 : C’est un garçon rangé… des voitures. Addition maligne et facétieuse, pour faire entendre qu’un homme ne mène pas une conduite bien régulière.
Rigaud, 1881 : Mettre en pâte, par ironie.
Lorsqu’un homme de conscience laisse échapper de ses mains un compartiment de casse, un paquet de distribution ou tout autre objet, les compagnons charitables ne manquent pas de s’écrier en appuyant sur le dernier mot : Ce n’est rien, c’est la conscience qui range
(Boutmy)
Boutmy, 1883 : v. a. Mettre en pâte. Ce mot est employé ironiquement et par antiphrase. Lorsqu’un homme de conscience laisse échapper de ses mains un compartiment de casse, un paquet de distribution ou tout autre objet, les compagnons charitables ne manquent pas de s’écrier, en appuyant sur le dernier mot : Ce n’est rien ; c’est la conscience qui range !