un détenu, 1846 : Fossé, trou, puits.
Delvau, 1866 : s. m. Fossé, trou. — dans l’argot des paysans des environs de Paris.
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Profond
un détenu, 1846 : Fossé, trou, puits.
Delvau, 1866 : s. m. Fossé, trou. — dans l’argot des paysans des environs de Paris.
Profonde
Raban et Saint-Hilaire, 1829 : Poche.
Halbert, 1849 : Cave ou poche.
Larchey, 1865 : Poche.
Ils se désignent entre eux sous le nom de fouilleurs de profondes.
Paillet.
Larchey, 1865 : Cave.
Je vais à la profonde vous chercher du frais.
Vidocq.
Dans les deux mots même allusion de cavité.
Delvau, 1866 : s. f. Poche de pantalon, — dans l’argot des voyous et des voleurs.
Delvau, 1866 : s. f. Cave, — dans l’argot des voyous.
Rigaud, 1881 : Poche. Elle est souvent d’autant plus profonde qu’il n’y a rien dedans.
La Rue, 1894 : Poche. Cave.
France, 1907 : Poche. Elle est parfois si profonde qu’on n’en touche pas le fond.
Pour comble de déveine, ce soir-lá, soir trop voisin de la Sainte Touche, Corniflon n’avait plus que quelques décimes dans sa profonde et conséquemment les ménageait comme la prunelle de ses yeux couleur du vert-de-gris.
(Marc Anfossi)
anon., 1907 : Poche.
Profondes
Virmaître, 1894 : Poches. Elles sont, hélas ! parfois si profondes, que l’on ne peut parvenir à y trouver le moindre maravédis (Argot du peuple).
Rossignol, 1901 : Poches.
Profondes (les)
Hayard, 1907 : Les poches.
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