d’Hautel, 1808 : Celui qui se plait à patiner, qui glisse avec des patins.
Delvau, 1866 : adj. et s. Homme qui aime à patiner les femmes.
Rigaud, 1881 : Cultivateur en attouchements lascifs.
Ah ! doucement ! je n’aime point les patineurs.
(Molière, George Dandin.)
Fustier, 1889 : Argot des voleurs et notamment des joueurs de bonneteau. Le patineur, c’est le banquier, celui qui tient les cartes, les patine et peut ainsi se livrer à toutes les tricheries. (V. Chocolat.)
La Rue, 1894 : Bonneteur (celui qui tient les cartes).