anon., 1827 : Pâté.
Raban et Saint-Hilaire, 1829 : Pâté.
Bras-de-Fer, 1829 : Pâté.
Halbert, 1849 : Pâté.
France, 1907 : Pâté, pour profond ; allusion au creux des anciens pâtés.
Au matin, quand nous nous levons,
J’aime la croûte de parfond,
Dans les entonnes trimardons,
Ou aux creux de ces ratichons
J’aime la croûte de parfond.
(Chanson de l’argot)
Parfond n’est pas, comme l’écrivent certains argotiers, une corruption de profond, c’est le contraire qui existe, parfond étant le vieux mot.
Triste me sens, m’amour, m’amye ;
En mon cueur croist et le morfond
Ung mal meschant, un mal parfont,
Ung mal noir que l’on ne voit mye.
(G. Calvé des Jardins, Les Oberliques)