d’Hautel, 1808 : Un pacant, un lourdaud, homme sans intelligence, sans pénétration, d’un sens et d’un esprit très-bornés.
anon., 1827 : Un passant.
Raban et Saint-Hilaire, 1829 : Passant.
Bras-de-Fer, 1829 : Un passant.
Delvau, 1866 : s. m. Paysan, — dans l’argot des voleurs. On dit aussi Palot.
Rigaud, 1881 : Paysan, — dans le jargon des voleurs. — Intrus, maladroit, lourdaud.
Mais ce pacant-là va tout gâter.
(Balzac, Pierre Grassou.)
France, 1907 : Paysan, individu grossier, lourd, butor, et, par extension, un intrus ; argot des voleurs ; vieux français, du latin paganus.
— Ce pacant-là va tout gâter.
(Balzac)
Se dit aussi pour passant.